[Sortie de crise] : Thérapeutes, praticiens en médecine douce, diététiciens et nutritionnistes en libéral : c'est le moment de renforcer votre présence digitale

La crise que nous traversons a un impact considérable et inédit sur nos vies. Alors que près de la moitié de la population mondiale a été ou est encore confinée, nous vivons toutes et tous des bouleversements auxquels il nous est plus ou moins facile de nous adapter. Non seulement la crise en elle-même et son caractère anxiogène sont générateurs de traumas, mais le confinement entraîne lui aussi des troubles psychologiques et des changements de mode de vie qui peuvent être préjudiciables à notre santé, tels que le manque d'activité physique et une alimentation pas toujours équilibrée. En première ligne pour aider les populations malmenées par ces conséquences de la pandémie : les thérapeutes tels que les psychologues et sophrologues, mais aussi les praticiens des médecines douces dans l'ensemble, ainsi que les diététiciens et nutritionnistes. Ces professionnels, dont nous allons avoir de plus en plus besoin, doivent adapter leur activité, si ce n’est déjà fait, et opérer un virage "digital". Ils vont devoir tenir compte, à court terme, des contraintes de sortie du confinement et de la distanciation sociale, et développer leur pratique sur internet, mais pas seulement. En effet, la crise a considérablement augmenté le rôle d'internet dans la vie de tous les jours de tous les patients. Il est donc indispensable pour les praticiens en libéral de développer leur présence digitale pour tenir compte de cette tendance qui est amenée à perdurer.

Le besoin d'aide psychologique et parallèlement, la nécessité de repenser son alimentation

A l'angoisse générée par la lutte contre un virus inconnu, se sont ajoutés le décompte quotidien morbide dans les médias, la maladie sur tous les écrans en permanence, la peur pour ses proches. Au-delà de l'épidémie, le confinement en soi a pu déclencher des troubles liés par exemple au sentiment d'isolement et à l'enfermement. Les effets collatéraux ont pu également créer des dommages, tels que la difficulté à gérer un deuil pendant cette période. Déjà assez tôt dans la période de confinement, le Centre national de ressources et d’appui aux CLSM (Conseils Locaux de Santé Mentale) commençait le recensement des actions relatives à la prévention de l’impact du confinement sur la santé mentale de la population (1). Les soignants eux-mêmes souffrent, et on constate chez eux un accroissement des syndromes post-traumatiques, comme le mentionne un article de Futura-Science (2).
En outre, alors que certains Français ont pu améliorer leur nutrition au quotidien en se mettant à cuisiner plus (et mieux), d’autres ont compensé leur stress avec une alimentation déséquilibrée, riche en gras et en sucre. Au global, les Français ont mangé plus, et avec moins d'exercice physique, ont pris du poids (3). L'alimentation est au cœur de l'actualité puisqu'il est prouvé qu'une bonne alimentation contribue à développer ses défenses immunitaires. Mais au-delà de la prévention, on observe que le sujet de l'obésité est directement lié à celui du Coronavirus, car le lien a été prouvé entre un IMC (Indice de Masse Corporelle) supérieur à 30 et les formes graves d'infection suite au virus (4)
Stress, anxiété, dépression, aggravation de l'obésité (5), tous ces maux pointent vers un besoin en forte augmentation de thérapeutes et de professionnels de l'alimentation et de la nutrition pour aider la population à supporter la période, et à mieux vivre celle qui s'annonce.

La recherche de praticiens se fait de plus en plus sur internet

Avec le confinement, l'utilisation d'internet par les Français a accéléré de nouveau. Pendant deux mois, nos échanges et notre vie sociale ont pu être maintenus grâce aux technologies du digital. Mais bien sûr cette tendance n'est pas nouvelle. Le domaine du médical n'échappe pas à la règle, et encore moins les praticiens exerçant dans les domaines connexes de la psychologie et des médecines douces. Ainsi, on constate en France pas moins de 135.000 recherches chaque mois en moyenne sur Google contenant le mot "psychologue", et 110.000 recherches contenant celui de "sophrologue", par exemple. Et cette tendance ne cesse de croître depuis plusieurs années.
Pour un praticien en libéral, améliorer sa présence sur Google peut se réaliser par divers moyens :
  • Être présent.e dans des applications gratuites qui permet aux organisations d'optimiser leur présence sur Google, notamment sur Google Maps. 
  • Posséder un site web clair et informatif, comprenant du contenu qui va intéresser l'internaute en recherche d'informations. 
  • Améliorer la présence de son site via les Google Adwords. Ces publicités proposées par Google permettent de faire remonter votre site en tête des recherches sur la première page Google.
  • Être acti.f.ve sur les réseaux sociaux pour augmenter le trafic sur votre site internet.
  • Être présent.e sur les annuaires de sa profession présents sur le web.

Se faire connaître... dans le respect de la déontologie

Certes, l’expression "réseaux sociaux" peut faire peur, ou du moins dissuader les praticiens qui sont orientés avant tout vers les autres, et peu habitués à se mettre en avant. Pour les thérapeutes, la démarche de présence digitale n'est donc pas forcément naturelle. Et pourtant, elle est totalement compatible avec la déontologie des différentes professions.
Tout d'abord, être présent afin d'être trouvé est une démarche qui ne diffère pas de celle, classique, des annuaires. Il s'agit là d'augmenter ses chances d'être contacté par un.e patient.e ou un prescripteur ayant recherché sa compétence en particulier.
Pour les psychologues par exemple, le code de déontologie (6) stipule simplement, dans son article 33, que " Le psychologue fait preuve de discernement, dans sa présentation au public, des méthodes et techniques psychologiques qu'il utilise. Il informe le public des dangers potentiels de leur utilisation et instrumentalisation par des non-psychologues. Il se montre vigilant quant aux conditions de sa participation à tout message diffusé publiquement."
En soi, la notion de communication est tout à fait permise dans les divers codes de déontologie, et elle est complètement légale pour les métiers dont nous parlons, mais bien sûr il est recommandé à chaque thérapeute de respecter l'éthique de sa profession.

Une nouvelle relation à ses patients et à son environnement de prescripteurs à imaginer

Dès les premières semaines de confinement, Doctolib annonçait une croissance record de ses télé-consultations (7), qui s'est confirmée par la suite. Le confinement a généré une explosion des interventions à distance dans de nombreux domaines, qui devraient s'inscrire désormais dans les habitudes de nombreux français. On a pu noter que même les notaires ont dématérialisé des opérations autrefois exercées exclusivement à leur étude. On observe d'ailleurs déjà depuis quelques semaines de nombreuses initiatives de diététiciens et nutritionnistes pour mettre en avant la consultation à distance sur leurs sites internet, et qui pour certains communiquent sur celle-ci via les Google Adwords.

 

La prise en charge individuelle à distance a été tout de suite une solution préconisée par les instances (8), et on retrouve sur le site du Syndicat National des Psychologues des conseils sur les consultations en ligne pour les psychologues en libéral (9).

 

Il est donc clair que la relation patient évoluera vers plus d'échanges virtuels, et on peut même penser que les praticiens pourront probablement même augmenter leur rayon d'activité et ne plus se limiter à consulter dans une distance physique donnée, notamment en zone rurale.

 

Or, l'utilisation de ces nouveaux modes d'échanges implique également de digitaliser certains autres aspects de son activité, par exemple permettre une prise de rendez-vous facile sur internet, et les échanges par e-mail. Si certaines plateformes en ligne permettent de combiner la télé-consultation et la prise de rendez-vous virtuels, il est tout à fait possible d'intégrer des outils gratuits dans son site web pour permettre la prise de rendez-vous sur des créneaux de son agenda.

 

De même, le digital est un outil incontournable pour toucher vos contacts prescripteurs. L'utilisation de newsletters ou d'e-mailings permet d'informer régulièrement votre réseau de votre activité, pour garder le lien avec les médecins généralistes et spécialistes de votre région, et les organismes et associations avec lesquelles vous voulez travaillez, par exemple. Il existe des outils (là encore, gratuits), permettant de vous faire gagner du temps sur l'envoi d'e-mails qualitatifs et personnalisés.

Au cœur de la sortie de crise, les praticiens en libéral vont devoir s'approprier les outils du digital

Il y a fort à penser que les professions de thérapeutes, et les diététiciens et nutritionnistes vont connaître une activité en fort développement dans les mois qui viennent. Indispensables à la santé des populations, ces professions vont devoir nous aider, toutes et tous, à nous adapter à un monde où notre façon de vivre va devoir changer pendant une période encore inconnue à ce jour. Et dans ce futur incertain qui se dessine, l'agilité et la maîtrise des outils sur internet devraient représenter un atout majeur pour les praticiens.
Si vous faites partie de ces professions, que vous exercez en libéral, et que vous souhaitez améliorer votre présence digitale, inscrivez-vous au webinaire (gratuit) : "Sortie de crise : renforcez votre activité et la relation avec vos patients grâce au digital" en cliquant ici (3 créneaux les 25 et 26 mai).

 


Un webinaire dédié aux thérapeutes et professionnels de la médecine douce tels que les psychologues, sophrologues, diététiciens/nutritionnistes, naturopathes,...

 

La crise actuelle a bouleversé nos modes de vie, et notre façon de communiquer avec les autres. Son caractère brutal et les contraintes du confinement font aussi émerger le besoin pour beaucoup de se faire aider en cette période difficile. 

Pour les thérapeutes et les praticiens de la médecine douce en général, et qui pratiquent en libéral, il faut savoir communiquer différemment, et parfois exercer sa profession à distance.

Vous n'êtes pas forcément habitué.e, en tant que thérapeute, à vous mettre en avant. Ce webinaire vous présentera des pistes pour utiliser le digital dans votre activité, dans le respect de votre déontologie, et notamment :

*  Pourquoi et comment se faire connaître sur le web, et augmenter les contacts avec votre patientèle potentielle ?

*  Comment envisager concrètement l'utilisation du digital dans les relations au quotidien avec vos patients ?

*  Comment entretenir un contact régulier avec les prescripteurs, et votre réseau de connaissances susceptible de vous recommander ?

Vous souhaitez plus ou mieux utiliser le digital dans votre activité : cette conférence en ligne est faite pour vous !